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Et si je vous parlais de...mon festival de Ramatuelle

Dernière mise à jour : 12 mars 2021

Ce soir, je tire ma révérence à princesse Ramatuelle et il est temps pour moi de faire mon bilan et quel bilan. Un festival magnifique.


Alors, je ne sais pas si je vous manquerais, mais moi. Vous me manquerez...Follement (Non, ce n’est pas de la prétention. Juste un petit hommage à Annie Girardot).


Quel éclectisme. Je ne sais pas, car je n’ai pas toujours eu les réponses à mes questions, mais je pense que c’est une véritable ligne éditoriale de la programmation.


J’ai ri. J’ai dansé, j’ai été ému et j’ai même vu une pièce un tant soit peu misogyne juste après une humoriste qui affirme et assume sa féminité et son féminisme.

C’est brillant. Non ? Et plein de second degré. Merci Monsieur Boujenah.


Je tiens chaleureusement à remercier toutes les personnes adorables que j’ai croisées dans ce festival au charme très particulier.

Tous les soirs, un petit sourire des policiers qui s’amusent de me voir sur mon scooter. Des agents de sécurité qui me font un clin d’œil avec ma gourde. Du jeune homme qui me sort mon Fanta avant même que je lui demande. Des jeunes placeuses qui m’accompagnent au rang F.

Je remercie également, avec beaucoup de respect, Jacqueline Franjou qui depuis 35 ans en est la maîtresse des lieux.


Enfin, je remercie Coraline, mon contact privilégié qui a su, avec beaucoup de délicatesse m’apprendre les rouages (vraiment) très subtils et codifiés de ce festival et qui m’a autorisé à passer un moment merveilleux avec l’équipe de la Machine de Turing.

J’ai aussi appris ce soir dans le creux de l’oreille que j’avais été le premier blogueur invité de toute l’histoire du festival de Ramatuelle et qu’une de mes vidéos était sur le site de la mairie de Ramatuelle. C’est quand même génial tout ça.

Je suis triste de partir, car je suis si insatiablement gourmand de théâtre, mais je suis heureux d’avoir passé une semaine en votre compagnie.


On ne sait jamais. S'il vous manque un bénévole pour ramasser les coussins. Je reviens tout de suite. Même en plein hiver s’il le faut. Surtout si vous laissait le portrait de Jean-Claude Brialy.

En tout cas, pour moi, quelques vacances bien méritées s’imposent. Les mots s’entrechoquent un peu dans ma tête, mais dès la fin août je vous promets de nouvelles très belles aventures.

Mon agenda est déjà bien rempli et pour tous mes petits fous qui me suivent toujours de plus en plus nombreux et qui me font confiance.

Pour les 280.000 personnes, qui ont lu ma lettre à Gérard Depardieu et les 2500 messages que j’ai reçus.


Sachez que ce soir, sur ma boîte mail, j’ai reçu mon billet pour le voir au théâtre des Champs Elysées cet hiver. Si ça. Ce n’est pas de la chance. Du bonheur.


Plus nous serons de petits fous, plus je serais fou de vous. Vous me donnez des ailes.


Ma vie, aujourdhui. Ma bataille. Mon combat. Défendre et faire connaître l’art sous toutes ses formes.


C’est notre plus grande liberté avec l’amour. Sans art. Il n’y a pas de vie possible.


L’art, c’est la réflexion, l’ouverture d’esprit, le partage, la sensation, l’émotion, le plaisir, l’intelligence.


Notre histoire en commun ne fait que commencer et je vous promets encore pleins de beaux moments.


N’hésitez pas. Suivez-moi. Commentez, likez. Engueulez-moi quand vous n’êtes pas d’accord. Partagez vos découvertes artistiques et soyons fou.




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