« Le public ne m’aimait pas » disait Jean-Louis Trintignant. Et pourtant !
Cet homme si discret et éternellement timide, en plus de 60 ans de carrière et plus de 100 films, a complètement illuminé, ébloui, le cinéma français.
Chabadabada...une musique pour toujours dans nos têtes
Qu’il soit amant passionné, tueur, militant ou retraité, ce comédien si charismatique qui a charmé des dizaines de réalisateurs de france (Vadim, Cavalier, Kieślowski, Rohmer, Audiard…) ou d’Italie (Risi, Corbucci ou Bertolucci) et des générations entières, était le maître de l'ambiguïté.
Jean-Louis Trintignant est décédé à l'âge 91 ans « paisiblement, de vieillesse, ce matin, chez lui, dans le Gard, entouré de ses proches », a dit son épouse à l'AFP le 17 juin.
LaCinetek, la VOD des réalisateur souhaite rendre hommage
11 FILMS SONT DISPONIBLES SUR LACINETEK :
Et Dieu...créa la femme de Roger Vadim (1956) Le Combat dans l'île de Alain Cavalier (1961) Le Fanfaron de Dino Risi (1962) Le Grand silence de Sergio Corbucci (1968) Le Conformiste de Bernardo Bertolucci (1969) Ma nuit chez Maud de Eric Rohmer (1969) Le Désert des Tartares de Valerio Zurlini (1976) Vivement dimanche ! de François Truffaut (1983) Rendez-vous de André Téchiné (1985) Trois couleurs : Rouge de Krzysztof Kieślowski (1994) Un héros très discret de Jacques Audiard (1996)


JEAN LOUIS TRINTIGNANT EN QUELQUES RECOMPENSES
1968 : Ours d'argent du meilleur acteur au Festival de Berlin pour L'Homme qui ment
1969 : prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes pour Z
2012 : Palme d'or au Festival de Cannes pour Amour de Michael Haneke

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