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"Juste un Souvenir" : Myriam Boyer tisse avec délicatesse un récit empreint de mélancolie et d'amour

Dernière mise à jour : 26 nov. 2023


Dans son spectacle "Juste un Souvenir", Myriam Boyer nous invite à un voyage unique et délicat au cœur des souvenirs. S'appuyant sur les mots de Cocteau, Vian, Mouloudji, Queneau et Trenet, elle navigue à travers leurs chansons emblématiques, les entrelaçant en un grand monologue passionné.


Une déclaration d'amour au théâtre et à la vie

"Juste un Souvenir" est bien plus qu'un spectacle. Myriam Boyer nous convie, le temps d'une soirée, à partager son récit, fait de souvenirs et de mélancolie. C'est une immersion dans les émotions, un hommage à la poésie de la vie. Telle une chanson sans musique, c'est comme les paroles d'un rêve qui ne veut pas s'achever, son présent éternel.


Au cœur de la rue Saint-Vincent à Paris, une poétesse et un inconnu ont vécu un amour intense. Leur appartement, ce cocon d'amour décoré de velours vert et d'acajou, est devenu le sanctuaire de leurs souvenirs partagés. Malgré la fin de leur relation, la poétesse conserve ces souvenirs et un cœur empli de nostalgie. Confrontée à la vieillesse et à la solitude, elle se remémore les jours heureux et trouve de l'espoir dans la beauté persistante de la vie.


Myriam Boyer, à travers son spectacle empreint de sensibilité, partage des instants tellement authentiques qu'ils semblent être tirés de la vie, de sa propre vie. « Bien que ce soient des chansons, je les interprète à ma manière, non pas en tant que chanteuse, mais en tant que comédienne », explique-t-elle. Elle poursuit : « C'est ma façon de me livrer. Je monte sur scène pour offrir au public un bouquet de chansons ».


Dans une interview pour le programme de salle, Boyer révèle que ce projet est un cadeau qu'elle se fait à elle-même, un moyen de renouer avec ses racines et ses premiers amours artistiques. Elle souligne que, privées de leur mélodie, ces chansons révèlent leur essence littéraire et acquièrent une intemporalité, ouvrant de nouvelles perspectives et sensations.


 

Dans la rue Saint-Vincent, sous une lune pâle, la poétesse…

tout comme Myriam Boyer, continue de créer, d'aimer et de vivre, emportant avec elle les échos d'un amour éternel et les leçons d'une vie riche en expériences. C'est dans l'intimité du Théâtre de Poche Montparnasse que l'émotion de "Juste un Souvenir" résonne actuellement, offrant un aperçu du cœur et de l'esprit d'une artiste exquise, pleinement engagée dans son art. Avis de Foudart 🅵🅵🅵


 

JUSTE UN SOUVENIR

Un spectacle de Myriam Boyer, à partir des textes de Jean Cocteau, Boris Vian,

Marcel Mouloudji, Raymond Queneau,

Charles Trenet, Louis Aragon...

Mise en scène Gérard Vantaggioli

Avec Myriam Boyer et la participation de Philippe Vincent

Lumières Franck Michallet

Photos Gérard Vantaggioli


THÉÂTRE DE POCHE MONTPARNASSE

Actuellement • Du mardi au samedi à 21h •

Représentations exceptionnelles les dimanches 31 décembre, 7 et 14 janvier à 17h • Durée 1h10


L'affiche met en vedette Myriam Boyer dans "Juste un Souvenir". Elle annonce le spectacle qui inclut des textes de Jean Cocteau, Boris Vian, Louis Aragon, Marcel Mouloudji, Raymond Queneau, et Charles Trenet. La mise en scène est assurée par Gérard Vantaggioli avec la participation de Philippe Vincent. Le spectacle se joue du mardi au samedi à 21h au Théâtre de Poche Montparnasse à Paris. Le design de l'affiche est simple mais élégant, avec une palette de couleurs centrée sur des tons de bleu-vert et une typographie claire qui met en avant le nom de Myriam Boyer.



 

LISTE DES CHANSONS DITES SUR SCÈNE

- Oreste Rossi, « Un souvenir »

- Michel Vaucaire, « Comme au théâtre » ; « La complainte des souvenirs »

- Boris Vian, « J’ai rêvé d’un piano »

- Francis Carco, « Chanson tendre »

- Jane Bos, « Dans la fumée »

- Charles Cachant (dit Charlys), «Où sont tous mes amants»

- Marcel Mouloudji, « Que le temps passe vite » ; « Le mal de Paris »

- Raymond Queneau, « Si tu t’imagines »

- Martial Carré, « La chose - les ratés de la bagatelle »

- Marc Robine, « Les rues de Paris »

- André Decaye, « Où est-il donc ? »

- Charles Trenet, « Coin de rue »

- Lucienne Boyer, « Ah! c’qu’on s’aimait »

- Jacques Prévert, « Deux escargots s’en vont à l’enterrement »

- Jean Renoir, « La Complainte de la Butte »

- André Varel, « Est-ce ma faute ? »

- Louis Aragon, « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? »

- Edmond Bouchaud, « La Coco »

- Jean Cocteau, « La Dame de Monte-Carlo »

- Georges Chelon, « Allons enfants »

- Raymond Asso, « Tout fout l’camp »

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