Il y a des jours comme ça... en plein hiver. La pluie, la morosité ambiante. Un cou bloqué, une grosse fatigue passagère et puis le téléphone sonne et une bonne copine nous propose une pièce dans un petit théâtre parisien qu’on ne connaît pas encore (si, si, ça existe).
On y va, après deux minutes d’hésitation (c’est beaucoup pour moi), par curiosité, par passion (toujours) et le charme opère.
On est chopé, ému et même ébloui par une très jolie écriture, de belles répliques, un univers plein de charme, d’inventivité et de poésie.
Un métro pour Québec, la première pièce de Nicolas Soulié est une belle comédie romantique comme on en voit trop peu, une vraie découverte et même un coup de cœur.
Quand de jeunes artistes (avec de belles carrières) à la créativité folle se réunissent, un fou de théâtre, toujours aux aguets et en goguette est aux anges.
Grégory Juppin qui a su se servir parfaitement de ce petit théâtre, a eu plein de bonnes idées de mise en scène et je vous promets de passer un très bon moment en compagnie de la pétillante Juliette Behar, de l’émouvant Nicolas Soulié et Maxime le Glas (de très jolis moments de guitare).
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