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Festival de Deauville 2019. Si nous lancions les paris

Dernière mise à jour : 15 mars 2021

SKIN. Swallow. BULL. The wolf Hour. Port Authority.


Cette année du très bon. Du très mauvais. Le cru de la sélection du festival de Deauville est un peu en dent de scie, mais c'est le jeu de ce festival du cinéma américain Indépendant.

Les histoires ont été souvent passionnantes et les acteurs et actrices, pour la plupart formidables.

C'est plus dans le traitement de la mise en scène ou des images (parfois trop esthétiques) que je me suis senti le plus déçu.


Aujourd'hui, le temps n'est pas au bilan, mais plutôt au pronostic et je vais me mettre vraiment en danger, sur ce coup-là. Je suis un fan absolu de SKIN par Guy Nattiv. J'ai un véritable coup de cœur pour Swallow de Carlo Mirabella Davis. BULL et The Wolf Hour sont deux très grands films. Port Authority pourrait faire la surprise. Le point commun de tous ces films est le niveau d'interprétation. Les points de vue artistique et les nuances psychologiques.

Du bon cinéma américain.


Parmi les œuvre PREMIERES. Le public a adoré American skin ( je suis un peu plus nuancé). music of my life est un pur bijou, Un jour de pluie à New York un bon Woody Allen. Une vie cachée, un très grand film.


Et les docs alors. Les indispensables pour moi Apollo11. Miles Davis's: birth of the cool. This changes everything.


Place à mesdames et messieurs les jurés. À vous de bosser. On a hâtes de connaitre votre choix.




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